Notre histoire

Notre histoire

Le Sonkeikan Budo est né d’une décision prise par Shihan Bernard Larochelle au début des années 2000 de quitter l’organisation Yoseikan Budo International.

Il faut comprendre que le club existe à Magog depuis 1975. Le fondateur, Shihan Michel Paré, prend l’initiative de démarrer une école de karate à Magog et débute les cours à l’été 1975 au centre communautaire. Shihan Larochelle commence la pratique du karaté sous la direction de ce dernier dès l’automne suivant. Déjà à son jeune âge, il participe à de nombreuses compétitions au Québec, en Ontario et aux États-Unis. Il prendra part aux Jeux du Québec. Il participe aussi à de nombreuses démonstrations à travers la province. Il obtient sa ceinture noire en 1980.

C’est en 1983 que Shihan Larochelle s’associe avec Michel Paré pour fonder le Club Karate Magog. Une nouvelle bâtisse, un centre d’entrainement privé, aucun partage de locaux ou de matériel avec d’autres organismes ou clubs sportifs, c’était le début du Club. Vers la fin des années 1980, le duo s’associe à l’organisation Yoseikan Budo. Ils organisent plusieurs tournois et démonstrations lors d’activités de leur fédération au fil des années. Leur association durera jusqu’à la fin des années 90, période durant laquelle Shihan Michel Paré décide de mettre fin à une éblouissante carrière de 30 ans dans les arts martiaux. Shihan Larochelle continue donc l’enseignement du Yoseikan Budo en compagnie de son élève la plus avancée, Annie Gosselin. C’est seulement en 2001 que Shihan Larochelle prend la décision, après mûres réflexions, de quitter l’organisation Yoseikan Budo pour fonder son propre style qu’il nommera un peu plus tard : Sonkeikan Budo.

Dans la littérature, on doit comprendre ce nom comme suit :

SONKEI = Respect, élévation, cheminement personnel

KAN = Maison, lieu de pratique (école)

BUDO = La voie du guerrier

Le Sonkeikan Budo est donc l’école de l’apprentissage de la voie du guerrier dans un climat de respect et de partage.

C’est une voie en constante évolution où la recherche et les progrès techniques sont toujours mis à l’avant-plan au service des Budokas (les élèves pratiquant le Sonkeikan Budo).